On ne découvre pas le BDSM. On le retrouve, comme si tout à l'intérieur tout était déjà prêt, presque répété. Le passage à l'acte fait la différence entre l'aspiration et l'assurance du vécu. On s'approprie les expériences, on ne part plus seul. L'errance des pensées obscures cesse.
On ne mentira plus jamais. C'est notre voyage qui s'écrit ici.
Si vous n'êtes pas déjà adepte de l'art du ligotage japonais (Kimbaku), vous avez surement vu, au moins sur le net, ces merveilleuses photos de bondage (Shibari), complexes, à base de cordes ...
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